Entre nous, une forêt danse
Des squelettes qui attendent de vêtir nos chairs
À chaque pas je cède aux saltimbanques macabres
La place
À chaque pas je me glisse d’os en os
L’ignominie
De venir jusqu’à la fosse où tu veux m'enlever
C’est de se sentir partir
Le mouvement des corps célestes et toi qui m’arrache
À tenir à la vie
Corps sans gravité, ici et là dispersée je
Tiens par la simple tension que m’accorde
Le devoir à mon squelette suivant
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