Quand le métro passe, que les portes s’ouvrent
Qu’il y a de la place pour s’accrocher aux barres métalliques et
Tourner comme une enfant
Tout lâcher et s’en remettre à nos réflexes, vacillants
Quand le métro s'arrête, que les portes s'ouvrent
Que l’on descend encore prise dans le mouvement et que
Les pieds se croisent pas de bourrée sautillant
L’orchestre pourrait être dans le wagon suivant
Montrer l’exemple d’une respiration qui transporte
Léger élan changement République
Vous prendrez bien l'oubli de nos routines
La souplesse d’un geste et l'on croit tordre le monde
Twist and sigh