On danserait presque sur une musique de fin des temps. Le chœur joyeux célèbre une nouvelle victoire, d'un manichéisme sans faille, celle de mon repos éternel sur l'anxiété d'un incendie qui nous consume.
L'alcool aux lèvres, la mélancolie sur le bout de la langue. Perce mon sein d'un amour aux yeux d'amande. Le chat s'enroule aux pieds de nos souvenirs cryptés, toute sa chaleur comme une vague de sable ensoleillée contre les peaux nues.
Titre
On danserait presque sur une musique de fin des temps.
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