Pupille, chas d'aiguille
Les impressions se tissent
Jusque dans les plis de ton regard
Tu souris
L'oeil percé
Les images s'écoulent
Et les ridules s'esquissent
Trahissent
Ton silence
Il faut le voir
Il faut le savoir
Tu le sais déjà tu as vu assez
Si tu ne vois que ça tu ne verras plus
Le monde tourner
Que les ridules s'étirent
Sur nos sourires impassibles
Pupille, sans nation
Les visages blancs cousus d'immuable
Les pieds percés marchant sur les ruines
Et les vies s'évaporent
Il fait nuit sur l'incendie
Dors et ferme tes yeux va,
Rien ne les a crevés encore
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