Les tiges encore affaissées par le vent
Les pas, les bestiaux, les effondrements
Il n'y a pas de souplesse dans la résilience
Les fractures marquent l'indélébile absence
Comptent les pétales, arrachent les feuilles
D'un calendrier qui ne date qu'écueils
La géologie d'une sève trace dans la terre
Les étirements de la soif.
Racines en lignes brisées jusqu'aux souvenirs que tu n'avais pas enterrées par accident.
La perméabilité de la mémoire, humiliée par sa propre relégation à L'imaginaire d'une autre.
Oppure le idee si portano a lungo il fiume. Si parla al vento. "Non raccogliere le mie viste !". E non risponderà.
Bevi la tua immutabilità fino al'alveo. Se non si muove più, nessun vedrà altro che il cielo, sdraiato nel fundo delle memorie. E poi si dimentica.
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