It's that time again, when the heavy crunch of my stomping breaks and shatters every fiber of hope. The closing in on the doorstep is but inevitable. How I wish I couldn't dream.
Aucune résonance ne s'accorde depuis la racine de mes angoisses au hérissement de ma nuque. Je ne bouge pas pourtant. Je reste là, plantée. Et chaque sensation, impossible à silencer, rappelle les autres battements, indéchiffrables.
Et je ne peux me mêler à la terre, et je ne veux m'exposer aux pouls de l'autre. Une surcharge constante d'intentions, et d'une vaine course cosmique. J'ai la tête qui tourne en permanence de ne pouvoir être réellement immobile.
Qu'on me fasse vibrer la dernière particule du monde. La fin qui fixe tout.
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