Que pousse l’iris à l'aube
Trop de regards absents Il y a Trop de visages fermés, de paupières closes Par des doigts de poussière
La peau rouge du sang d’un·e autre Et que tu ne peux rincer que dans une eau grise
Qui gardera le souvenir de l’anonyme Lorsque toutes celles et ceux qui connaissaient son nom L’auront rejoint
Je veux me rappeler la couleur de tes yeux Dont je n'ai jamais croisé la pupille noire.
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